Investir dès son plus jeune âge permet de tirer profit des intérêts composés des placements souscrits au fil du temps. Plus tôt vous commencez à investir, plus le temps travaille pour vous, amplifiant ainsi la croissance de votre capital. Investir est aussi un moyen de concrétiser vos projets de vie, alors autant s’y prendre tôt. Par ailleurs, être jeune, c’est disposer d’une plus grande capacité à prendre des risques, permettant d'envisager la souscription à des placements plus dynamiques et potentiellement plus rentables.
Quels sont les placements à positionner au premier rang ?
Le choix dépend de plusieurs facteurs : votre profil d'investisseur, votre horizon de placement, votre aversion au risque et vos objectifs financiers. Toujours est-il que la constitution du capital devrait être amorcée, dans un premier temps, par l’introduction de placements plus ou moins sécurisés, tels que les livrets. Exemple : Livret A, LDDS, LEP et livret jeune. Les supports en fonds en euros sont aussi à prioriser, que ce soit dans une assurance-vie ou dans un placement pour la retraite tel que le PER.
Comme indiqué plus haut, les jeunes peuvent s’autoriser des risques. Ainsi, le feu est vert pour les supports en unités de compte dans une assurance-vie, par exemple, voire dans un PER. En effet, ceux-ci produisent un potentiel de rendement plus élevé, mais également un risque de perte en capital. Ils sont à privilégier pour les jeunes ayant un horizon de placement long et une bonne tolérance au risque. Rappelons que ces supports sont composés d’actions et de ses multiples dérivés (OPCVM, fonds d’investissements alternatifs, fonds indiciels ou trackersÊtre jeune est une ouverture à des projets d'avenir et d'ambition ; le pouvoir du temps fait partie des principaux avantages dont ils bénéficient. Il est donc judicieux de songer aux questions d’ordre financier dès le début de la vie active. De plus, la gestion de patrimoine, souvent perçue comme réservée aux plus âgés, est en réalité un enjeu majeur pour les jeunes générations. [...]